dimanche 23 janvier 2011

L'élite: Une absence, des hypothèses.

Dans mon billet relatant les émeutes en Algérie, j'ai relevé un point qui me semble très important qui est l'absence inexpliquée de l'élite et cela avant, pendant et après ces événements, aujourd'hui on va en parler; Chose promise, chose due!.

Une élite reste une pièce maîtresse dans les mouvements des nations, c'est pas par choix mais une évidence dictée par le cours de l'histoire, et c'est pas le cas Algérien (ou Arabe d'une façon générale) qui va le changer!.


Ainsi, il s'avère important dans le vif du débat de toucher l'ensemble des hypothèses expliquant ce phénomène néfaste mais pas le justifiant!, de ceux j'ai pu repérer:
  • Répression psychologique: Le régime politique qui n'a jamais permis une constitution saine d'une élite Algérienne.
  • Diversion idéologique: Théoriquement ce type de diversion n'a jamais été une entrave!, mais le manque d'un projet unificateur l'est réellement.
  • Dispersion géographique:  un grand nombre de notre diaspora est dispersée autour de la terre, et dans la science physique nous connaissons tous la résultante de forces dispersées.
  • L'auto-marginalisation : le refus de participation  dans la vie active de notre société a rompu tout contact entre cette classe et le reste de la population, malheureusement ce refus est toujours justifié!.
Une mûre réflexion s'impose, cette classe doit impérativement prendre ses responsabilités et s'interroger sur sa position passive par rapport à notre société, c'est un devoir imminent.





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